Bienvenue à toi qui me lis,
je démarre ce blog avec une histoire de maman, mais attention pas n'importe laquelle, celle de ma grossesse. Ou du moins ce que j'ai pu ressentir pendant cette période qui, il faut le dire, est une période où tous nos sens sont décuplés et chamboulés. Cette première partie va parler du moment où l'envie d'avoir un bébé se fait ressentir, de la découverte à l'annonce en passant par les premiers symptômes.
La première choses dont je peux témoigner c'est que c'était vrai ! Les nausées, la fatigue, les vertiges... c'était bien vrai ! Tu crois que pour toi les choses seront différentes, tu penses mieux gérer ou échapper au lourd fléau que sont les nausées... que nenni mon ami ! Mme réalité est bien là . Tu sais Mme réalité... celle qui te fait descendre de dix étages, qui te tape sur le coin de la figure au moment où tu t'y attends le moins ? Mais siiiiii, celle qui piétine tes rêves et laisse des traces sur son passage, qui n'a que faire de tes sentiments ? Aaaah tu vois, tu l'as reconnu !
Un jour tu te réveilles et tu te dis "Et si c'était le bon moment ? Et si c'était enfin à mon tour de devenir mère ?" Autant te dire que le jour où je me suis posé ces questions, il aurait mieux valu que je reste couché ! Mais voilà il est trop tard, le déclic a eu lieu et cette idée ne m'a pas lâché. Me voilà donc partie pour en parler à mon Jules et pour ne rien arranger il est lui aussi très enjoué à l'idée de passer à l'étape supérieure. Il disait "C'est pas ça qui me fait peur à moi, au contraire !). C'était en Janvier 2017.
C'est alors qu'un milliard de questions m'envahit, même les plus insensées : "Serions-nous de bons parents ? Qu'aurions-nous à lui offrir ? Sera-t-il heureux avec nous ? Est-ce que je tomberais enceinte rapidement ? Par où commencer ?"
(🤨 SÉRIEUSEMENT ???????)
Et pourtant Mme réalité est là , tu n'a pas encore conscience du processus de la création de la vie (en détails je veux dire), ni du lexique merveilleux de la grossesse qui t'attend. Car soyons honnêtes, en règle générale, et surtout de nos jours, il ne suffit pas de quelques galipettes pour faire un bébé. Oh non, il va te falloir réunir un ensemble d'ingrédients pour que cela fonctionne. Parfois cela marche quasiment du premier coup (Mme réalité est aussi injuste parfois, mais là je ne t'apprends rien) et parfois tu auras beau essayer, ce ne sera pas suffisant. C'était mon cas.
Les mois passent et rien... tu te sens nul, impuissante, tu y crois à chaque fois pourtant, mais tu te fais des films. Tu ne sais pas d'où vient le problème et après tout tu ne sais même pas s'il y en a un. Le gygy dit que ça va prendre du temps mais que c'est normal. Ok tu te sens rassuré et tu repars le coeur léger. Mais toujours rien au bout de 8 mois d'essai... Jusqu'au jour où tu as 7 jours de retard ! Impossible de patienter plus, tu fais un test : très léger positif. Ça doit être trop tôt mais Hourra ! Tu n'en crois pas tes yeux. Pourtant quelques jours plus tard... du sang, c'est ce que tu retrouve au fond de ta culotte. La prise de sang indique que le taux "beta hcg" dégringole et ton moral avec. Douleurs, larmes, déception, une routine de nos jours à ce qu'il paraît.
Les mois passent et il est de plus en plus difficile d'imaginer qu'un jour tu pourrais être enceinte. Tu perds espoir, tu essaye de ne pas imaginer le pire. Du coup tu t'occupe, tu fais des projets professionnels, tu entame une nouvelle formation, tu ouvre une auto-entreprise, tu organise un shooting. 8 nouveaux mois ce sont passés depuis ta fausse-couche précoce. Pendant ce shooting tu ne te ménages pas, tu portes des choses lourdes, tu grimpes, tu manges sur le pouces, bref tu vis le moment à fond. Pourtant, une douzaine de jours après tu remarques de nouveau un retard. Qui dit nouveau retard dit nouveau test.
Un très beau et franc POSITIIIIIF !
Et là soudain c'est Mme angoisse qui te frappe au ventre. Elle non plus ne te ménages pas ! Du coup tu ne te réjouis pas vraiment, tu te dis que tout peut s'arrêter donc tu ravale ta joie et tu reprend ta journée. Que tu crois !!!!! Ah ah impossible de ne pas y penser. Tu tentes quand même de faire une surprise à ton Jules en improvisant une cachette sous sa serviette de table avant son retour du boulot pour qu'il voit par lui même le joli POSITIF qui changera vos vies. Surpris, il te demande pourquoi tu lui as mis ce bâtonnet où tu as fa pipi dessus dans son assiette ! Blasée, tu te dis que tu y réfléchiras à deux fois la prochaine fois que tu veux faire une surprise à Jules 😅
Bref, pour ma part, les premiers symptômes ont fait leurs apparitions au bout d'un mois de grossesse à peu près. J'étais désemparé, des nausées (un seul vomit durant toute ma grossesse) à longueur de journée, un odorat très développé et une fatigue à rester couchée des heures. Et là , je me suis demandé où est passé cette foutu aventure merveilleuse que tout le monde nous vente ? Où quelle est la joie de la grossesse ??? À la place j'ai plutôt ressenti une panique insurmontable. Du genre "Aucun retour en arrière possible, sa y est j'y suis dedans et même jusqu'au cou, ouais !". Je ne voulais rien manger, ne rien faire, même avoir une discussion avec quelqu'un était devenue compliqué. Les tisanes anti-nausées FLOP, les petites collations FLOP, tout était un gros FLOP enfaite.
Et là , s'ajoute à ça la question de l'annonce à la famille. Heu... Comment ? Quand ? Dans quelles circonstances ? Si je m'étais écouté, je l'aurais dis dans la seconde qui as suivi le test. Et oui, Mme patience et moi on est pas bonnes copines ! Mais mon Jules a sût me faire tenir. Pour connaître la suite de l'annonce de ma grossesse, rendez-vous dans un autre article que je rédigerai spécialement pour cette partie la plus croustillante de l'histoire !
Tu l'as compris, la première partie de ma grossesse est racontée avec un humour décalé et même si ce que j'ai pu ressentir pendant cette période peut être déroutant pour certaines (notamment pour celles qui n'arrivent pas à tomber enceinte) saches que c'est ok, nous avons le droit de ressentir des choses bizarre, ne plus penser une seule de ces choses plus tard, bref peu importe, nous sommes toutes différentes. Sache seulement que les hormones nous fonts de sacrées tours sur le moment et OUI tous le monde ne vie pas la grossesse de la même manière donc aucun jugement ne devrait être fait. Il faut seulement être bienveillante envers toi si tu ressent des choses pas toujours positives et bienveillantes envers les autres qui peuvent avoir un avis différent du tiens.
Les mois passent et il est de plus en plus difficile d'imaginer qu'un jour tu pourrais être enceinte. Tu perds espoir, tu essaye de ne pas imaginer le pire. Du coup tu t'occupe, tu fais des projets professionnels, tu entame une nouvelle formation, tu ouvre une auto-entreprise, tu organise un shooting. 8 nouveaux mois ce sont passés depuis ta fausse-couche précoce. Pendant ce shooting tu ne te ménages pas, tu portes des choses lourdes, tu grimpes, tu manges sur le pouces, bref tu vis le moment à fond. Pourtant, une douzaine de jours après tu remarques de nouveau un retard. Qui dit nouveau retard dit nouveau test.
Un très beau et franc POSITIIIIIF !
Et là soudain c'est Mme angoisse qui te frappe au ventre. Elle non plus ne te ménages pas ! Du coup tu ne te réjouis pas vraiment, tu te dis que tout peut s'arrêter donc tu ravale ta joie et tu reprend ta journée. Que tu crois !!!!! Ah ah impossible de ne pas y penser. Tu tentes quand même de faire une surprise à ton Jules en improvisant une cachette sous sa serviette de table avant son retour du boulot pour qu'il voit par lui même le joli POSITIF qui changera vos vies. Surpris, il te demande pourquoi tu lui as mis ce bâtonnet où tu as fa pipi dessus dans son assiette ! Blasée, tu te dis que tu y réfléchiras à deux fois la prochaine fois que tu veux faire une surprise à Jules 😅
Bref, pour ma part, les premiers symptômes ont fait leurs apparitions au bout d'un mois de grossesse à peu près. J'étais désemparé, des nausées (un seul vomit durant toute ma grossesse) à longueur de journée, un odorat très développé et une fatigue à rester couchée des heures. Et là , je me suis demandé où est passé cette foutu aventure merveilleuse que tout le monde nous vente ? Où quelle est la joie de la grossesse ??? À la place j'ai plutôt ressenti une panique insurmontable. Du genre "Aucun retour en arrière possible, sa y est j'y suis dedans et même jusqu'au cou, ouais !". Je ne voulais rien manger, ne rien faire, même avoir une discussion avec quelqu'un était devenue compliqué. Les tisanes anti-nausées FLOP, les petites collations FLOP, tout était un gros FLOP enfaite.
Et là , s'ajoute à ça la question de l'annonce à la famille. Heu... Comment ? Quand ? Dans quelles circonstances ? Si je m'étais écouté, je l'aurais dis dans la seconde qui as suivi le test. Et oui, Mme patience et moi on est pas bonnes copines ! Mais mon Jules a sût me faire tenir. Pour connaître la suite de l'annonce de ma grossesse, rendez-vous dans un autre article que je rédigerai spécialement pour cette partie la plus croustillante de l'histoire !
Tu l'as compris, la première partie de ma grossesse est racontée avec un humour décalé et même si ce que j'ai pu ressentir pendant cette période peut être déroutant pour certaines (notamment pour celles qui n'arrivent pas à tomber enceinte) saches que c'est ok, nous avons le droit de ressentir des choses bizarre, ne plus penser une seule de ces choses plus tard, bref peu importe, nous sommes toutes différentes. Sache seulement que les hormones nous fonts de sacrées tours sur le moment et OUI tous le monde ne vie pas la grossesse de la même manière donc aucun jugement ne devrait être fait. Il faut seulement être bienveillante envers toi si tu ressent des choses pas toujours positives et bienveillantes envers les autres qui peuvent avoir un avis différent du tiens.
Sur ces belles paroles, s'achève la première partie de mon récit de grossesse. Comme je l'ai dis un peu plus haut, je vous rédige très vite un article sur l'annonce de ma grossesse à mes proches. Succès garantie !
N'hésites pas, si toi aussi tu veux partager avec moi ton histoire de maman ou seulement me faire-part de ton ressenti, écrit moi un commentaire juste en dessous de l'article ou un mail via le formulaire de contact qui se trouve dans la barre latérale à gauche. Je me ferai évidemment un plaisir de te lire !
À très vite pour la suite de l'histoire.